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Choisir une tenue pour un enterrement

Choisir une tenue pour un enterrement ne signifie pas forcément porter du noir, et à moins qu’une couleur ait été expressément demandée par le défunt ou sa famille, vous pouvez porter une couleur uniforme ou neutre, foncée de préférence : le gris anthracite, le bleu marine, le marron foncé.

Comment ne pas se tromper dans le choix de sa tenue pour un enterrement ?

L’atmosphère des obsèques est au recueillement et à la tristesse. Le style et la couleur de vos vêtements doivent marquer le respect pour le défunt et pour sa famille. Optez pour une couleur sombre, un tailleur pantalon ou une robe ou jupe longue.

Pour ne pas se tromper, il faut à tout prix éviter les couleurs vives, telles que le jaune, le bleu et le rouge, ce qui pourrait être interprété comme un affront. Les couleurs vives, même en petites touches sur un bord de robe ou un revers de manches de chemises ne sont pas appropriées.

Note, dans certains pays et certains rituels culturels, le rouge est la couleur de la fête. Il faut donc absolument éviter cette couleur.

Une tenue pour des obsèques doit avoir des manches longues, et s’il s’agit d’une robe noire aux manches très courtes, il faut y ajouter un châle. De la même façon, une jupe ou une robe courte ou moulante n’est pas adaptée pour un enterrement.

Pour les hommes qui portent une cravate, celle-ci doit être, comme le tissu du costume, sombre ou de l’une des couleurs neutres que nous avons citées, en évitant les motifs aux couleurs vives.

Le choix des chaussures pour des obsèques suit les mêmes règles. La forme et la couleur sont formelles, noires ou sombre, ce sont des ballerines l’été et des bottes ou bottines à talons plats l’hiver. La hauteur des talons doit permettre un certain confort car le jour d’un enterrement, la station debout dans l’église et au cimetière peut s’avérer pénible en talons haut.

Finalement, tenez-compte de la météo et munissez-vous, si nécessaire, d’un parapluie (de couleur sombre) et si vous devez porter un manteau, respectez les mêmes conseils de couleurs et d’aspect.

Choisir sa tenue pour un enterrement en fonction de l’origine du défunt

La tenue pour un enterrement dépend également de l’origine du défunt. La population française et européenne est un mélange de personnes de toutes origines. Si vous êtes appelés à vous rendre à l’enterrement de l’une d’entre elles, la famille du défunt peut souhaiter que la couleur dédiée aux obsèques soit respectée.

  • Pour un enterrement musulman, il n’existe pas de consignes spécifiques. Vous devez simplement choisir des vêtements sobres et peu voyants, et éviter bijoux et accessoires.
  • Pour des obsèques juives, les hommes portent la kippa. Les bijoux trop voyants ou excentriques sont proscrits, de même que les vêtements de couleurs vives.
  • En Inde et dans les pays asiatiques, le blanc est de rigueur. Il est le symbole de la pureté de la lumière. Rappelant la pâleur mortuaire il apparaît néanmoins comme un symbole de vérité.
  • Certains pays comme la Chine ou le Japon associent au blanc, des petites touches de rouge ou de noir pour appuyer la signification de la douleur et du chagrin.
  • Les obsèques en Iran privilégient le bleu, soulignant la paix du défunt et son passage à l’extérieur du monde réel.
  • Les Philippines mettent le jaune en avant lors de leurs funérailles. Le jaune est éclatant, c’est la couleur du soleil, il souligne l’avènement du mort dans une nouvelle dimension.
  • En Afrique, les traditions sont axées sur un mélange de couleurs vives comme on retrouve sur les tissus des costumes féminins.
  • A Bali et en Indonésie, les tissus sont également multicolores, ornés de fleurs de frangipaniers ou d’autres fleurs exotiques.
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Pourquoi choisir le portage salarial ?

Le portage salarial est un statut d’activité qui représente une réelle alternative vis-à-vis des autres formes juridiques, à l’image de l’auto-entreprise. Bien que ce mode de travail soit en forte croissance, puisque le nombre de salariés portés a été multiplié par 3 en moins de 10 ans, le fonctionnement et les avantages du portage salarial restent méconnus pour un grand nombre de travailleurs. Pour vous permettre de mieux connaître ce secteur en pleine explosion, voyons ensemble les différents points qui peuvent vous inciter à réfléchir au portage salarial.

Les caractéristiques du portage salarial

Depuis quelques années maintenant, le portage salarial est mieux encadré par la loi et le Code du travail, sans oublier qu’il bénéficie dorénavant d’une convention collective. Statut hybride, qui mêle les avantages du salarié à ceux de l’indépendant, ce mode de travail se distingue par son fonctionnement atypique et la relation tripartite qui unit le salarié porté, la société de portage salarial et l’entreprise cliente qui paye pour la prestation.

Pour pouvoir exercer en portage salarial, l’entrepreneur doit signer 3 différents documents, à savoir

  • un contrat de travail, qui délimite les contours de son activité avec la société de portage ;
  • une convention de portage, qui présente les spécificités de sa protection sociale, de sa retraite, ou d’autres notions administratives ;
  • un contrat de prestation, sorte de devis entre le salarié porté et son client, qui décrit le cadre d’intervention de la mission, la rémunération prévue, ou encore la durée de la prestation.

Malgré ce cadre très réglementé, le salarié porté reste autonome pour tout ce qui concerne son activité, sa prospection ou la négociation avec ses clients.

Les avantages du portage salarial

Si le portage salarial est un statut de plus en plus plébiscité, ce n’est pas pour rien. En effet, ce mode de travail comporte un certain nombre d’avantages pour le salarié porté. Parmi ces derniers, on retrouve notamment :

  • la protection sociale, similaire à celle d’un salarié, aussi bien pour l’assurance maladie, l’assurance chômage ou même la retraite ;
  • la gestion administrative inexistante, puisque c’est la société de portage salarial qui gère tout cet aspect, des devis et factures à la comptabilité, en passant par les déclarations fiscales et relances au client ;
  • la sécurité du statut, grâce à l’assurance responsabilité civile professionnelle de la société de portage salariale ;
  • l’accompagnement personnalisé, puisque toute entreprise de portage encadre généralement le salarié porté à travers des formations diverses ou un réseau de professionnels déjà existant ;
  • les garanties financières permises par le contrat de travail et le versement d’un salaire mensuel, que ce soit auprès d’une banque, d’un propriétaire ou de tout autre organisme.
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Un agent immobilier pour estimer un bien

En France, l’agent immobilier est un professionnel aguerri. En tant qu’agent immobilier indépendant ou intégré au sein d’une agence immobilière et outre les conseils qu’il vous apporte en tant qu’expert dans son domaine, il peut pour réaliser l’estimation gratuite de votre bien immobilier.

Pour avoir une première idée d’une estimation de prix, vous pouvez faire une simulation sur un des nombreux sites internet dédiés. Mais avant de signer un mandat de vente et y indiquer le montant de l’estimation de son logement, le propriétaire doit contacter un professionnel de la vente immobilière.

Note, le mandat de vente peut-être exclusif ou non ; le propriétaire pouvant s’engager avec plusieurs agences immobilières.

Ainsi, un agent immobilier indépendant, une agence immobilière ou encore un notaire viendra réaliser sur place, l’estimation du bien. En effet, la majorité des critères dont il faut tenir compte dans une telle expertise se constatent de visu.

Attention, l’agent immobilier n’est pas apte, personnellement, à réaliser les diagnostics immobiliers obligatoires à la vente d’un appartement ou d’une maison (énergie, plomb, amiante, etc.). Pour cela, les agences immobilières vous recommanderont un autre professionnel.

Cette estimation du bien immobilier fixe son prix mais pour déterminer le montant définitif affiché sur la petite annonce, à l’agence ou chez le notaire, il faut ajouter le montant de la commission de l’agent immobilier calculé en appliquant un taux de 3% à 8% au prix de l’estimation. Sur Paris, et en fonction du type de bien immobilier estimé, appartement luxueux ou chambre de bonne, ce taux peut varier de 3% à 11%.

La vente d’un bien immobilier, les critères de l’estimation

Lorsque l’agent immobilier réalise l’estimation du bien mis en vente, il tient compte d’un maximum de critères définissant l’état de la maison : état des lieux, travaux réalisés ou travaux à réaliser, état du gros œuvre, date de construction, entretien, superficie, etc. L’état du marché, le prix de l’immobilier dans le quartier ainsi que l’environnement du bien en vente ont également leur importance. Souvent il est assisté par un logiciel immobilier qui va l’aider en lui donnant accès à des informations très fines (certaines entreprises comme citima sont spécialisés dans ces logiciels).

La vente rapide d’un bien étant liée en majeure partie, à la justesse de l’estimation du prix de vente, la responsabilité repose sur les épaules de l’agent immobilier ou du notaire qui va se charger d’estimer le bien immobilier en question. Pour autant, la qualité de l’estimation ne sera révélée que lorsque la mise en vente sera effective et que les premiers acquéreurs potentiels feront des visites.

Pour estimer le prix d’un appartement, le nombre de mètres carrés est également une référence. La superficie de l’appartement est calculée en fonction de la loi Carrez, sans tenir compte par exemple, des mètres carrés des pièces dont la hauteur est inférieure à 1,80 m.

Pour estimer le prix d’une maison, l’agent immobilier tiendra compte du « caractère unique » de ce type de bien, ainsi que la surface du terrain sur laquelle elle est construite.

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Les origines de la sophrologie : un peu d’histoire

La sophrologie est une méthode de relaxation et de conscience de soi à travers la pratique d’exercices de respiration, d’hypnose et de travail de l’esprit.

Beaucoup de questions circulent sur cette méthode, depuis du très terre-à-terre (« est-ce que la sophrologie est remboursée par la sécurité sociale ? ») jusqu’à des questionnements plus théoriques voire plus historique.

Mais quelle est l’origine de cet ensemble de techniques, dont la popularité ne fait qu’augmenter auprès des personnes à la recherche de médecine douce ?

Caycedo et l’origine de la sophrologie en 1960

Le terme sophrologie est introduit en 1960 par le médecin psychiatre Alfonso Caycedo, né en Colombie en 1932. Il s’agit d’un néologisme composé de trois mots grecs : « sos » qui désigne l’harmonie, « phrén » qui signifie l’esprit ou la conscience, et « logie » qui veut dire science.

Il désigne à l’origine l’ensemble des méthodes d’hypnose et leur usage pour améliorer la santé du patient. Rapidement, sous l’impulsion de Caycedo, la sophrologie s’enrichit de diverses philosophies et pratiques orientales comme le yoga et les méthodes zen, pour devenir ce qu’on appellera la sophrologie caycédienne. Cette discipline reste la plus courante aujourd’hui, même après le décès de Caycedo en 2017.

Évolution de la sophrologie dans les années 80 : moins d’hypnose, plus de méditation

S’il a toujours été question dans la sophrologie d’harmoniser l’esprit et le corps, l’hypnose était à l’origine la principale technique utilisée. Au fil des ans, Caycedo estime que l’état d’hypnose n’est pas suffisant pour améliorer la conscience du corps et atteindre un niveau de relaxation suffisant. Il développe alors des exercices de méditation, de respiration, et la sophrologie caycédienne devient si populaire que Caycedo ouvre plusieurs écoles en Andorre qui offrent une formation aux aspirants sophrologues.

D’autres courants de sophrologie voient le jour à partir de la fin des années 80, et chaque sophrologue est libre de se revendiquer de l’une ou l’autre des méthodes, qui partagent toutes le même esprit et tentent de réduire le stress lié à la vie de l’homme moderne.

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Prendre soin de ses cheveux en hiver

Pas de répit pour nos cheveux ! Après le soleil et l’eau de mer cet été, qui fragilisent tous deux notre belle chevelure, voilà que l’hiver est là, et on le sait toutes, le froid n’est pas l’ami des cheveux. Électricité statique, perte de volume, chute de cheveux et pire encore, cela peut vite dégénérer et j’en sais quelque chose. Plus besoin de rechercher des conseils pour prendre soin de vos cheveux cet hiver, car je vous partage toutes mes astuces beauté en matière de soin capillaire.

Un shampoing doux et adapté

Ce n’est pas parce que le froid assèche les cheveux qu’il faut moins les laver. En fait, il s’agit surtout d’utiliser des shampoings doux pour ne pas agresser le cuir chevelu et protéger vos longueurs. Votre shampoing doit donc être adapté à la nature de vos cheveux, sachant qu’il y en a de toutes sortes, cheveux fins, longs, secs, frisés, abîmés et cassants, ou même gras. Tout de même, ne faites pas comme moi, et évitez de laver vos cheveux à l’eau trop chaude, bien que ce soit agréable.

Un après-shampoing nourrissant

Pour cheveux très secs ou abîmés, mais aussi pour limiter l’électricité statique, je vous recommande l’utilisation d’un après-shampoing. Ce produit m’a sauvée du ridicule plus d’une fois ! Appliquez-le en évitant les racines, car malgré un bon rinçage, il a tendance à alourdir le cheveu et à vous donner une coiffure sans volume.

Une hydratation en profondeur

Tout comme vous hydratez votre peau, il faut aussi hydrater vos cheveux, ne serait-ce que pour limiter l’apparition de fourches au niveau des pointes, et réduire là encore l’électricité statique. Je vous recommande donc d’utiliser des huiles végétales comme l’argan, la coco ou encore l’huile de ricin, avant votre shampoing ou après pour un masque intensif. Évitez les racines, mais insistez bien sur les longueurs.

Un séchage doux

Pas question de sortir avec les cheveux mouillés ! Je m’y refuse tout le temps. C’est inconfortable, on risque de prendre froid, et c’est aussi agressif puisque le froid brise la fibre du cheveu mouillé.

Un séchage à l’air tiède est bien plus respectueux et doux, en sachant que sécher vos cheveux la tête en bas maximisera leur effet volume.

Encore quelques conseils…

Si malgré les soins apportés, des fourches apparaissent, une seule solution : couper les pointes pour repartir sur un cheveu sain.

N’oubliez pas le brossage, capitale pour débarrasser vos cheveux des impuretés (pellicules…), même si comme le sèche-cheveux, il peut être agressif pour la fibre capillaire. Préférez utiliser une brosse en fibre naturelle, et brossez avec délicatesse.

Pour finir, je sais ô combien le bonnet est confortable en hiver, mais sachez qu’il étouffe les cheveux et accentue l’électricité statique ou la production de sébum (cheveux plus gras). Sortez donc votre bonnet du placard qu’en cas de grand froid.

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Comment organiser son mariage ?

Le mariage est un évènement très important dans la vie de tout homme. C’est le moment idéal ou l’homme et la femme sont en parfaite harmonie. Il faut dire que ce moment est très stressant pour les mariés. Une mauvaise organisation d‘un tel évènement peut marquer à jamais votre vie. Il est donc très important de bien l’organiser. Découvrez dans cet article quelques astuces pour bien organiser son mariage.

Choisir une bonne date

Le choix d’une date est déjà un élément très important. Pour certaines personnes, cela reste un détail, mais sachez que pour une bonne organisation, il faut choisir méticuleusement la date. Généralement, les mariages ne se déroulent pas en pleine semaine ; les samedis et les dimanches sont des jours très recommandés. Vous pouvez choisir un jour symbolique comme le 14 février (la Saint-Valentin) ou encore le 25 décembre. Prenez votre temps pour choisir.

La salle de réception

La salle de réception doit être choisie à l’avance. Pour vous éviter les tracasseries de dernière minute, faites appel à un wedding  planner. La salle doit être fonction du nombre d’invités.

La décoration

Pour décorer votre salle, prenez l’avis de votre partenaire. Le wedding planner vous proposera des motifs. Vous choisirez l’un de ces motifs en fonction des invités, de leur âge et de leur condition sociale. S’il y a, par exemple, trop de grandes personnes, n’exagérez pas sur les ballons.

Chaises et verres

Pour donner plus d’esthétique à la salle, les chaises doivent être décorées de façon à faire assortir la décoration à la salle. Il faut également connaitre à l’avance le nombre d’invités et prévoir les chaises et les verres. Il est conseillé de prendre quelques chaises en surplus en cas d’imprévu ou de visite surprise.

La nourriture, la boisson ainsi que la musique

Tous ces éléments doivent être méthodiquement préparés pour une bonne organisation.

La nourriture

Il est important de pouvoir connaître les mets qui seront servis à la réception. Selon le budget dont vous disposez, le menu peut être soft ou bien consistant. Une fois encore, prenez en compte vos invités.

La boisson

Bien qu’il s’agisse de mariage et de festivité, ce n’est pas l’occasion pour se bourrer. Il faut que la boisson soit suffisante, mais n’oubliez surtout pas de laisser une consigne ferme aux gestionnaires. Chacun doit trouver une boisson tout au moins. L’apéritif ainsi que les amuse-gueules doivent être servis au début de la réception. Cela peut être en service libre ou assisté.

La musique

Beaucoup de personnes hésitent à ce sujet. Faites appel à un DJ ! C’est une solution simple et efficace. Toutefois, il est très important de demander la Play liste qui sera jouée ce jour. Si vous disposez du temps, il faut les écouter et faire même des suggestions. Donnez-lui également la musique sur laquelle vous allez danser avec votre compagnon. N’oubliez surtout pas de lui donner des consignes strictes en ce qui concerne le volume.

Le choix du gâteau

Qui dit mariage pense à gâteaux ! On a du mal à s’imaginer un mariage sans coupure de gâteau. Il est très important de faire un tour chez le pâtissier pour passer commande. Informez ce dernier au moins deux mois à l’avance pour éviter des retards de livraison. Demandez un échantillon de ces meilleurs gâteaux. Goutez-les tous si possible.

Confier l’organisation à un wedding planner 

Pour la bonne marche des choses, le mieux est de confier l’organisation de votre mariage à un wedding planner. C’est un professionnel chargé de coordonner tout ce qui a rapport à l’organisation de votre mariage. Vous n’avez qu’à lui soumettre vos envies. Il se chargera de vous offrir le mariage de vos rêves. 

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Pourquoi privilégier les marques de vêtements éthiques ?

Saviez-vous que l’industrie de la mode est l’une des industries les polluantes ?

De nombreux textiles que les gens portent quotidiennement contribuent à la pollution chimique de l’eau à travers la planète. Ces polluants ont non seulement un impact sur l’environnement, mais ils sont aussi mortels pour la vie aquatique et sont nocifs pour les humains.

Cependant, il existe des méthodes pour choisir des vêtements qui ne nuisent pas à l’environnement. Des vêtements fabriqués de façon éthique et une mode durable.

Ne vous fiez pas au marketing qui pourrait présenter les produits d’une organisation comme étant écologiques alors qu’elles ne le sont pas.

Alors comment savoir si ces vêtements sont vraiment conçus de façon éthique ?

Qu’est-ce qu’un vêtement fabriqué de façon éthique ?

L’impact sur l’environnement

La production de vêtements éthiques consiste à minimiser l’impact environnemental des activités de fabrication de vêtements.

Les entreprises de mode éthique s’efforcent de superviser le traitement des eaux usées, les pesticides, les engrais, ainsi que l’origine des colorants qu’elles utilisent. Ces entreprises assument leur responsabilité d’entreprise en trouvant des techniques de production alternatives pour faire moins de dégâts sur l’environnement.

La mains d’œuvre

L’un des principes fondamentaux de la mode éthique est le respect des droits humains fondamentaux, quel que soit l’endroit où les vêtements sont produits. Ce principe concerne des aspects tels que des salaires équitables, des installations sécurisées et les conditions de travail générales, qui peuvent varier considérablement selon l’endroit où les vêtements sont fabriqués.

La mode éthique vise à s’assurer que tous les travailleurs sont rémunérés équitablement et traités avec dignité et respect.

En achetant des vêtements éthiques, vous pouvez avoir la garantie que les vêtements ont été fabriqués dans des conditions de travail respectueuses des hommes.

La marque et les consommateurs

La mode éthique, c’est plus que l’environnement et les travailleurs, c’est l’interaction des fabricants de vêtements avec les consommateurs qui achètent leurs produits. Les fabricants de vêtements éthiques le font en fournissant à la fois un service de qualité et des informations transparentes sur leurs produits, leurs procédés de fabrication et leurs techniques d’approvisionnement en matériaux.

En fournissant des données complètes et des renseignements pertinents, ils peuvent aider les consommateurs à prendre des décisions éclairées au sujet de leurs achats.

Comment savoir si vous achetez des vêtements fabriqués de façon éthique ?

Une fois la mode éthique définie voici quelques éléments à garder à l’esprit lorsque vous souhaitez acquérir des vêtements.

Vérifier les matériaux

Quand il s’agit d’acheter des vêtements, la meilleure chose à faire est d’acheter des tissus recyclés. Vous pouvez aussi vous tourner vers du coton biologique, bien qu’il nécessite beaucoup d’eau pour le fabriquer.

Les matériaux comme le cuir ne sont pas écologiques à moins d’être recyclés. La fourrure n’est pas non plus un choix éthique car elle implique de tuer des animaux. En général, l’utilisation de produits d’origine animale pour la mode n’est pas éthique.

Évitez les articles fabriqués en Asie

Souvent, les marques de vêtements déplacent leur production vers l’Asie pour augmenter leurs marges bénéficiaires en payant les travailleurs presque rien. La raison pour laquelle de nombreuses marques de mode proposent des prix bas est qu’elles maintiennent leurs employés dans des conditions de travail déplorables. La mode est très polluante en Asie et très peu contrôlée.

Ces fabricants déplacent également leur production en Asie pour contourner les lois qui exigent que les pays développés n’utilisent pas de colorants toxiques sans élimination et filtration appropriées. Ce procédé de teinture toxique tue tout ce qui est exposé aux eaux usées de l’usine, comme les plantes, et empoisonne également l’approvisionnement en eau potable.

Ce qu’il faut retenir d’un achat de vêtements

Nous ne payons peut-être qu’un petit prix pour acquérir nos vêtements ordinaires, mais l’environnement et les hommes paient un lourd tribut. La mode bon marché dégrade l’environnement, met les gens en danger et désinforme les consommateurs qui achètent.
En achetant des vêtements éthiques, vous pouvez serez tranquille en sachant que vous faites votre part pour défendre l’environnement et les travailleurs qui conçoivent vos habits.

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Lancer sa start-up en 5 étapes

Quel entrepreneur faut-il être pour lancer sa start-up?

La start-up, cette «forme» d’entreprise dont l’activité est généralement nichée dans le monde des nouvelles technologies, le secteur du numérique, le fintech ou le biotech, doit avant tout et sans aucune équivoque, faire référence aux motivations innovantes de ses créateurs. Il est admis que l’entrepreneur, créateur d’une startup, doit juste avoir LA bonne idée et lancer son entreprise sans pour cela être bardé de diplômes.

Cette façon de voir les choses ouvre les horizons de la startup aussi bien à l’entrepreneur qui décide d’innover en livrant les commandes de fruits des salariés directement sur leur lieu de travail qu’à un «Steve Jobs» ou un «Elon Musk» car dans tous les cas, les caractéristiques de la start-up sont respectées : entreprise guidée par une idée innovante, à fort pouvoir de développement et de croissance, et dont la constitution du capital social fait l’objet d’apports extérieurs (tout au long de la vie de l’entreprise) : emprunts bancaires, crowdfunding, levée de fonds (Business Angels ou entrepreneurs déjà installés).

La création d’une start-up reste donc un véritable concept. Quel que soit le profil de l’entrepreneur et l’origine des fonds qui composent le capital social, la création d’une startup se réalise en respectant les 5 étapes suivantes :

Etape no 1 – Trouver L’IDEE pour lancer sa startup

Pas de startup sans idée ! Novatrice, pertinente, convaincante, perspicace, autant de qualificatifs parfaitement adaptés pour débuter une révolution, commerciale, informatique ou numérique, ou simplement pour ouvrir une porte au bon sens, à une meilleure gestion du temps, à un concept simplifié… Bref, pour lancer sa start-up, il faut avoir «la bonne idée» !

Une fois cette idée validée, l’entrepreneur conçoit l’environnement dans lequel elle va prendre vie. Il cible l’objectif en termes de marché, de clients et de concurrence ; valide si cette idée répond à un besoin existant ou à créer et finalement, réalise un test grandeur réelle afin de parfaire et améliorer le service ou le produit qui en découle.

Etape no 2 – Finaliser les détails du business plan de sa startup

Le business plan apporte tous les arguments pour convaincre. Que ce soit dans sa partie chiffrée ou rédactionnelle, le but recherché est de fournir des réponses aux tiers de l’entreprise (investisseurs) mais aussi à l’équipe : l’idée validée est-elle apte à générer une activité suffisante pour être exploitée sous la forme d’une startup ? Cette activité est-elle source de la mise en évidence des compétences innovantes de l’équipe ?

La partie chiffrée doit prouver que le capital disponible à la création de la startup suivi du financement généré par l’activité permettront de faire face aux besoins des trois (ou cinq) premières années de vie de la startup. Les investisseurs et les financiers doivent être convaincus de la pérennité de l’entreprise et de sa croissance exponentielle maîtrisée.

Le «texte» du business plan, où l’entrepreneur place son idée au cœur de son projet de création de startup, rassemble plusieurs documents, dont le contenu risque d’évoluer durant la vie de l’entreprise : executive summary, présentation de l’équipe et de l’entreprise, business model (présentation du produit ou service), étude de marché et de la concurrence, réglementation de l’activité et business marketing.

Le business plan doit définir la «proposition de valeur» de la future startup en informant sur les caractéristiques qui rendent le produit ou le service unique ou plus performant. Il analyse précisément la prise de position des concurrents directs (produit ou service similaire) et met en place une stratégie marketing qui situe le produit (ou service) de la startup afin qu’il puisse répondre à un besoin ou en créer un.

Etape no 3 – Rechercher le financement de sa startup

Une fois le business plan achevé, l’entrepreneur se lance dans la recherche d’un financement sauf, bien entendu, s’il est en capacité d’autofinancer intégralement sa startup. Plusieurs solutions s’offrent à lui :

  • Crowdfunding : financement participatif sous forme de prêt, de participation au capital ou de dons.
  • Emprunt bancaire : l’entrepreneur doit pouvoir justifier de biens personnels qui serviront de caution.
  • Levée de fonds : business Angels mais aussi chefs d’entreprises qui souhaitent participer à la startup en tant qu’actionnaires.
  • Aides à l’innovation : organismes gouvernementaux, Conseils Régionaux et BPI France avec la bourse «French Tech» : 30 000 euros pour les projets réellement innovants.
  • Appel à projet : l’entrepreneur répond à un appel à projet innovant proposé par exemple, par des fondations de grandes entreprises, l’ADEME ou l’Union Européenne, via le programme H2020.

Etape no 4 – Choisir le statut juridique de sa startup

La startup n’étant pas un statut juridique, l’entrepreneur doit choisir sous quel statut juridique évoluera son entreprise. En France, le choix du statut juridique adapté à une startup dépend de différents critères :

  • Les entrepreneurs doivent compter sur des investisseurs, des actionnaires, etc. pour former le capital social de leur startup.
  • La startup est une des formes d’entreprises qui représente le plus de risques d’échecs ; les entrepreneurs doivent donc protéger leurs biens personnels.
  • La startup a besoin d’un fonctionnement flexible.
  • La startup affiche généralement un capital social élevé provenant de différentes sources. Les entrepreneurs investisseurs souhaitent parfois participer à la direction de la startup.

Ces impératifs orientent les entrepreneurs vers le statut juridique de la Société à Actions Simplifiée (SAS) ; statut qui de fait, respecte tous ces critères. En France, la majorité des startups évoluent sous ce statut.

Etape no 5 – Réaliser les formalités de création de sa startup

La startup est potentiellement prête à fonctionner lorsque les étapes précédentes sont finalisées. Mais avant de rassembler les documents constituant le dossier de demande d’immatriculation auprès du Registre du Commerce via le Centre de Formalités des Entreprises, l’entrepreneur doit communiquer sur la création de sa startup en publiant une annonce légale.

L’attestation de parution de cette annonce légale dans un journal d’annonces légales du département est jointe au dossier de demande d’immatriculation. L’entrepreneur réalise un gain de temps appréciable en effectuant toutes les démarches de la création de sa startup de manière dématérialisée, sur l’un des nombreux sites web dédiés.

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C’est quoi un email marketing ?

L’email marketing, appelé aussi marketing par courriel, est un moyen de communication de masse, qui consiste à créer et envoyer des emails aux contacts d’une entreprise (clients, prospects, abonnés, partenaires…), pour faire la promotion d’un produit ou d’un service.

Voyons dans le détail ce qu’est un email marketing pour bien débuter dans la communication électronique.

Qu’est-ce qu’un email marketing ?

L’email, 1er type de support digital à être apparu sur le web, est aujourd’hui plus utilisé que le courrier postal. S’il semble anodin en apparence, il est surtout idéal pour permettre à une entreprise de toucher une cible plus large.

Les emails marketing pour une communication ponctuelle

Les emails marketing ponctuels sont ancrés dans le temps, comme les newsletters qui présentent les informations et actualités d’une entreprise ou une offre de nouveaux produits et services.

Les campagnes d’email marketing

Les campagnes d’emailing marketing sont généralement ponctuelles et orientées vers la vente. Par exemple, pour une promotion ou une offre spéciale, à l’occasion d’une fin d’année, d’un Black Friday, des soldes, etc.

Quels sont les objectifs de l’email marketing ?

L’email marketing a pour principal intérêt de faire connaître une entreprise et son savoir-faire, de ses compétences à ses produits et services. La stratégie de l’email marketing se base donc sur l’envoi de masse à une vaste cible de prospects triés sur le volet, pour les informer et surtout les fidéliser.

Les bonnes pratiques de l’email marketing

Maintenant que vous en savez plus sur les emailing marketing, passons aux points principaux d’un email performant.

Collecter les adresses email légalement

Pour récolter des adresses email en toute légalité, vous devez avoir une autorisation de collecte et de traitement des données par le propriétaire de l’adresse.

Segmenter votre liste de diffusion

Plus votre liste d’emails grandit, plus elle est susceptible de contenir des personnes différentes. Segmenter votre liste, c’est la découper en plusieurs listes de profils similaires (âge, sexe…).

Créer un design agréable

En marketing, la forme compte autant que le fond. Personne ne lira votre message, aussi important soit-il, si le support ne suscite pas l’intérêt. Créer des modèles types d’emails selon le message à transmettre, aux couleurs de votre entreprise, vous fera gagner du temps.

Personnaliser les messages dans vos mails

La personnalisation du contenu d’un mail est primordiale pour inciter à l’action chez les destinataires. Il ne s’agit pas d’utiliser seulement le nom et le prénom du client, mais aussi de proposer des produits différents en fonction des préférences de chaque destinataire.

L’intérêt d’un logiciel d’emailing

Un logiciel d’emailing est un outil pratique pour un suivi efficace de votre campagne. Il fait la gestion emailing de A à Z : il permet de vérifier la réception des envois, de gérer les inscriptions des abonnées aux mails (obligation légale) et de suivre les statistiques des emails envoyés (taux d’ouverture, nombres de clics…).

Enfin, il permet aussi d’automatiser l’envoi des emails marketing à l’aide d’un modèle de mail type personnalisé, envoyé à vos contacts par programmation sans intervention humaine.

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Les Français, radins ou malins ?

L’IFOP a publié il y a quelques mois une étude intitulée « Les Français sont radins et l’assument ». Cette étude des comportements, passionnante d’un point de vue sociologique est également extrêmement instructive pour tous les acteurs du commerce.

Radin ou Économe ?

Il faut pourtant débuter par une précision importante : à partir de quel moment est on radin ? L’exemple classique de celui qui oublie toujours ses moyens de paiement lorsqu’il sort en groupe ne prête pas à confusion. Mais qu’en est-il des millions d’entre nous qui font en sorte d’optimiser leurs dépenses ?

Dans les deux cas on cherche à dépenser le moins possible mais la majorité des Français n’est pas vraiment avare, ils ne refusent pas de dépenser de l’argent. Ils veulent simplement trouver les meilleures occasions, ne pas acheter au prix fort. Ils veulent « en avoir pour leur argent ».

L’objectif final c’est de tirer le maximum de ses ressources. C’est ainsi que 78% des Français passent du temps à chercher les bonnes affaires. Ils sont même souvent prêts pour cela à différer leurs achats.

Radin ou Malin ?

L’économie circulaire a le vent en poupe. Les vêtements, les objets, se revendent et s’échangent, augmentant leur durée de vie (voir un article ici sur les astuces pour bien vendre sur Ebay). Les systèmes de troc de compétences ou de services sont de plus en plus efficaces. Ils fonctionnent maintenant à la fois de manière locale mais également à distance.

De plus en plus de gens fabriquent eux même leurs produits cosmétiques ou d’entretien, optimisant le rapport qualité-prix de ce qu’ils utilisent. Plus généralement l’engouement pour le DIY (do it yourself) et le fait maison touche de plus en plus de secteurs de consommation courante. Il ne s’agit plus simplement de faire des guirlandes ou du scrapbooking mais de produire soi-même ses champignons, sa bière, ses vêtements, son énergie… De nombreux sites référencent ce qu’il est intéressant de Faire soi-même versus acheter. 

L’avenir des radins

C’est un fait, le contexte est favorable aux radins. Les comparateurs de prix sont partout. Les sites de vente d’occasion se multiplient et prennent de l’ampleur. Les voyagistes spécialisés dans les départs de dernière minute ou à prix cassés concurrencent sérieusement leurs ancêtres « classiques ». Les sites de réduction référençant les restaurant, les coiffeurs… fleurissent.

De nombreuses applications récentes sont le reflet de cette tendance. L’intérêt pour les bonnes affaires se conjugue au refus du gaspillage. Cela donne naissance à des systèmes de mise en relation de distributeurs à consommateurs pour brader les invendus plutôt que de les jeter.

L’effet pervers évident c’est que les fausses ristournes se multiplient. Plus les réductions affichées sont hautes plus les prix de base sont gonflés. C’est un phénomène bien connu au moment des soldes. Pourtant certains sites ont fait leur succès avec des coupons de services à – 80 ou – 90%. Mais le consommateur français, radin mais pas dupe, délaisse de plus en plus ces soi-disant sites de bonnes affaires. Il se méfie des événements comme le Black Friday.

Le radin 2.0

Le français, radin et malin, cherche, fouille, guette, traque. Il apprend à multiplier les sources, à vérifier. Si c’est moins net chez les plus de 50 ans qui éprouve plus de difficultés à s’approprier les recherches sur internet c’est pourtant très net chez les plus jeunes. Plus de 80% des moins de 25 ans cherchent systématiquement l’achat optimal.

Ainsi les Français développent un principe de méfiance et ne prennent pas le prix affiché comme une donnée acquise. Finalement, ils ne veulent plus être des moutons, floués par la publicité et les distributeurs qui font des marges colossales. Serait-ce le début de la fin de la surconsommation ?